L'exposition #MTLGO, un portrait unique des Montréalais
Plongez dans le quotidien des Montréalais à travers 55 portraits vidéo et plus de 500 images tirées des médias sociaux et des archives de la Ville de Montréal.
Venez à la rencontre de Montréalais comme les athlètes olympiques Jennifer Abel et Caroline Ouellette, la chorégraphe Marie Chouinard, l’humoriste Sugar Sammy, le chef d’orchestre Kent Nagano, le DJ Ghislain Poirier, la troupe de cirque Les 7 doigts de la main et le restaurateur Martin Picard, qui participent tous à l’exposition #MTLGO.
Le hockey, la gastronomie, les arts de la scène, la langue ou encore des quartiers comme le Plateau Mont-Royal ou le Vieux-Montréal sont quelques-unes des thématiques de cette exposition.
À la fin de votre parcours, recevez un billet vous donnant accès à des activités étonnantes et incontournables. Partez en mission dans la ville pour connaître le Montréal des Montréalais. Et surtout, n’oubliez pas de partager vos expériences avec nous. Qui sait, votre contenu pourrait bien se retrouver dans la prochaine édition de l’exposition !
Le scrutin organisé pour
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. Un
candidat et un dirigeant de l'opposition,
qui boycotte cette élection, ont été assassinés, dimanche 30 juillet. Une
"médiation et une action de la part des pays voisins pour trouver une issue à cette crise internationale"
est nécessaire, selon Gaspard Estrada, directeur de l’Observatoire politique de l’Amérique latine et des Caraïbes de Sciences-po, déclare, dimanche sur franceinfo.
franceinfo : Ce scrutin se joue dans les urnes ou dans la rue ?
Gaspard Estrada :
Nous le verrons dans les jours à venir. En ce qui concerne les urnes, compte tenu du fait que l'opposition a boycotté ce scrutin, le président Nicolas Maduro proclamera la victoire de son mouvement ce soir. La question est de savoir si cette action institutionnelle aura un effet politique et économique de longue durée. Je crois que non, car le Venezuela traverse une très grave crise économique. Il y a une pénurie des biens de première nécessité, mais aussi une crise politique. L'Assemblée nationale, actuellement contrôlée par l'opposition, va de facto disparaître, suite à l'élection de cette assemblée constituante. Je crains qu'il y ait de nouvelles manifestations.
On dénombre 115 morts depuis avril dans des manifestations similaires. Est-ce que cela peut dégénérer à nouveau ?
Je le crains d'autant plus qu'avec la convocation de cette assemblée constituante sans référendum, le président Maduro réalise une fuite en avant. On voit mal comment il peut y avoir un dialogue, qui est pourtant impératif pour obtenir un minimum d'apaisement. Dans les semaines à venir, je pense qu'on peut redouter une augmentation de la violence. Je ne sais pas si on peut encore parler de guerre civile, mais les deux camps se regardent en chiens de faïence. La tension est à son paroxysme. Pour le moment, l'armée soutient Maduro. Pour autant, on peut se poser la question d'éventuelles fissures au sein de ce corps militaire compte tenu de cet état catastrophique sur le plan économique, de cette polarisation politique et de ce marasme social.
La trahison par l'armée est une option envisageable ?
Il y a beaucoup d'options possibles. Le grand problème au Venezuela, aujourd'hui, c'est qu'il existe un très grand nombre d'acteurs qui ont un pouvoir politique. Il sera très difficile au Venezuela, mais aussi sur le plan régional, je pense à la Colombie et à Cuba, de mettre tous ces acteurs autour d'une table pour qu'ils prennent des décisions. Le Venezuela est en train de s'isoler et en même temps, il faut bien qu'il y ait une médiation et une action de la part des pays voisins pour trouver une issue à cette crise. Elle devient une crise internationale dans le sens où il y a des milliers de Vénézuéliens qui traversent les frontières pour fuir la pénurie et notamment en Colombie.
C’est parti pour trois jours sur le site des 7 Chevaux où auront défilé en quelques semaines, des centaines de footballeurs en herbe, des milliers de cyclotouristes et plus d’un demi-millier de cavaliers. Le site de l’Etrier Luxovien s’est fait une beauté pour ce jumping, ce qui n’a pas manqué de frapper ces Bourguignons débarquant de leur grand camion : « C’est la première fois que nous venons et nous sommes plus qu’agréablement surpris, l’année prochaine on revient, on se croirait à La Baule ». Il est vrai qu’avec les tentes blanches, les grandes bâches rayées bleu et blanc devant les écuries et les tapis roses déployés au VIP où le champagne coulera à flots pour saluer les victoires, une allure de Loire-Atlantique flotte sur l’endroit. De plus, l’ombre des chênes séculaires trône à deux pas, propice à ressourcer chevaux et cavaliers.
Guillaume, le propriétaire des lieux, ne cache pas sa satisfaction : « Nous tenons à offrir un concours amateur de qualité dans la convivialité tout en frôlant le professionnalisme ». Julien, Dolois et chef de piste, joue la même partition : « Je suis comme un chef d’orchestre, il faut réussir à harmoniser un parcours dans la simplicité, la fluidité et la technique pour que montures et cavaliers y trouvent leur compte ».
Les « 6 barres », un grand défi en nocturne
Audrey, venue du haras de La Poudrière en Alsace, est ravie de sa venue dans la cité thermale : « Nous venons pour la seconde fois à ce super concours et ne voulions surtout pas le rater ». Quant à Delphine de l’Ecurie des Morcots dans le Doubs, elle regrette de ne pouvoir rester sur les trois jours : « Ici c’est splendide. L’année prochaine, je reviens et je m’organise en conséquence. Je suis venue avec mon jeune cavalier, j’essaie de le driver, il découvre l’endroit et reste un peu farouche ». La « prof » ne sera pas venue pour rien, son élève a fait un sans-faute avec beaucoup d’élégance. Au fur et à mesure de la montée en gamme des épreuves, les champions affinent leur monture et les bagarres s’annoncent sévères aujourd’hui et dimanche sur les grands prix à forte dotation. Quant au concours des 6 barres, de ce samedi soir, le record à battre est de 1,75 m, détenu par Elisa Sigrist et Jérémy Morgenstein.
656, le nombre d'engagés officiels, on frôlera même les 700 avec les « libres ».